Grâce au financement lié au tax shelter, incitant fiscal destiné à encourager la production d’oeuvres audiovisuelles et cinématographiques, DECAVI a contribué à la réalisation de toute une série de projet cinématographiques.
Si certaines des oeuvres financées par DECAVI sont volontairement ludiques («Yakari» ou encore «Zombillénium»), d’autres sont autrement plus sérieuses et sont devenues de réels chefs-d’oeuvres : elles ont fait l’objet de nombreux commentaires positifs dans la presse et sont présentées dans de nombreux festivals («Ashcan – La Prison secrète» ou encore «La Brigade des Papiers»).
Ce qui a motivé DECAVI avant tout, c’est de contribuer, bien modestement, à un travail de mémoire sur notre histoire, afin que le passé (dans ses aspects les plus sombres) ne se répète pas pour les générations à venir.
DECAVI finance donc tous les genres d’oeuvres : des films, des documentaires ou encore des films d’animation. Nous en dressons la liste (l’année mentionnée entre parenthèses est celle où DECAVI a financé l’oeuvre).